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Définition :
Crédit
natif IAS/IFRS
MJPR
plus simple,
plus souple
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Nativement IAS – IFRS, car les intérêts sont
strictement calculés actuariellement :
Int = Base [ (1+i)N -1]
où : N = Jours réels calendaires de la période,
i = taux
journalier équivalent du taux facial,
Base = solde dû
en début de période.
MJPR (Méthode des Jours & Poids Réels)
repose
sur l'algorithme découvert par l'auteur en 2002 nécessaire à
la Pondération
d'échéances :
Poids et/ou saisonnalités.
Cet algorithme est
universel et élémentaire.
A l'instar des mathématiques fractales, il est le seul utilisé par
MJPR, si complexes que soient les règles de remboursements (progressivité,
etc…)
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MJPR permet en outre de gérer librement toutes les
dates d'échéances, qui ne sont plus nécessairement anniversaires les unes
des autres.
Le report de l'échéance à un jour ouvré proche peut être automatique.
Ainsi, on profitera de cette liberté pour diminuer le coût apparent du
crédit.
On peut aussi utiliser à cet effet le Poids, c'est à dire surpondérer
une échéance quelconque à l'occasion d'un 13ième mois, par exemple.
Ces manipulations prévisionnelles, voulues, n'affectent en rien le TAEG du
crédit, (ni la marge donc) alors qu'aujourd'hui ils varient suivant le mois
de départ du crédit (voir le tableau ci-dessous).
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Pourquoi serait-il
inutile de passer
de dépenses obligées
à
l'investissement rentable que constitue
la mise en oeuvre de
MJPR ?
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MJPR simplifie
la mise en œuvre des normes IAS/IFRS et des normes Bâle II. Il faut y
ajouter une proposition de l'auteur, datant de 1988, avec l'aval de la Commission Bancaire
au lancement de BAFI.
Cette proposition était de comptabiliser les intérêts courus (donc, les
provisions d') dans le compte de principal de la dette (et non seulement dans
la classe d'origine). Il suffit de généraliser l'outil informatique usuel
qu'est la date de valeur (échéance) au compte principal de prêt pour savoir
distinguer le principal et les intérêts courus : c'est toujours la seule
exigence BAFI.
L'IAS/IFRS avec l'intégration des frais annexes pour amortir le tout au TIE
(Taux d'Intérêt Economique) ou TRE (...Rendement..), renforce donc l'intérêt
de la solution MJPR.
Au lieu des doubles (voire triple) comptabilités parallèles Client,
IAS (et fiscal) réalisées, MJPR permet :
-1- une comptabilité unique Client et IAS,
- 2 - le suivi de l’encours global dans un compte unique, et donc la
suppression des sous comptes.
- 3 - la suppression des comptes de passage pour diminuer d’autant les
écritures et les coûts de lettrage et audit des comptes.
- 4 - un mécanisme direct de retour en cas d’incidents de paiement ,
et en final une mise en œuvre plus simple et directe du principe de contagion
lors d’un passage en contentieux.
Que l'on ne dise pas avec des arguments hors sujet que les schémas comptables
actuels sont intouchables, car MJPR ne fait que généraliser ce qui se fait
déjà en matière de provisions mensuelles des échelles trimestrielles, comme
en matière de crédit revolving : les "factures" des intérêts courus
et frais apparaissent au compte d'origine.
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Que l'on ne prétende
pas davantage que réduire les volumes, les schémas et les comptes n'est pas
un facteur d'économies, avec un strabisme aussi divergent que constant ! Les
mêmes comptables et auditeurs se gargarisent des erreurs rendues possibles
par cette "Taylorisation" comptable actuelle et irresponsable...
- 5 - un calcul homogène sur les emplois et les ressources, et la
constitution d’un historique unique, comptable et financier pour les
études de rentabilité et ALM et l’ensemble des reporting Bâle II,
constituent la plus grande économie de MJPR.
Les refinancements ont majoritairement leurs charges fonction des jours
réels. Les 28 jours de Février présentent donc un écart de durée de ~8% avec
le mois réel moyen. Hors provisions pour risques, la marge brute voisine de
1% d'un refinancement à 3.5% s'apprécie de ce fait avec une erreur relative
de 32% de ces 1% !!!
L'IAS ne tolère au qualificatif de couverture qu'une erreur maximale
de 20%.
On est donc bien au delà de la tolérance. Pour les mois de 31 jours, l'écart
inverse reste proche de 16%. On flirte donc toujours avec l'erreur sans réel
garde fou.
Enfin, on dépense chaque année une fortune en programmes informatiques
spécifiques de chaque type d'instruments financiers pour mesurer a posteriori
emplois et ressources : les études ALM.
Un des intérêts de MJPR est de permettre un programme unique de mesure
des rendements des emplois de façon homogène, avec les ressources, à partir
d'un modèle unique d'historique comptable.
MJPR sera donc généralisé à la gestion de l’ensemble des instruments
de Trésorerie. MJPR sait aussi
reprendre tous les encours existants suivant la réalité future calendaire.
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Avantages :
2 types d’économies :

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-A- Externes =
Mise en conformité des crédits.
Comme pour un iceberg, la partie externe visible par les clients n’est
que le dixième des économies résultantes d’une meilleure productivité.
MJPR ne change pas grand-chose pour le client
(~ + 3/10 000) sur une échéance.
Mais, le banquier récupère 5,7 jours de valeur par an sur les règlements, et
un manque à gagner double car le TAEG publié est majoré à tort 8 à 9
fois /12 . Inversement, il est condamnable 3 à 4 fois sur 12 avec un TAEG
minoré.
Economies anecdotiques ou pas, la conformité actuarielle est nécessaire
aux économies suivantes. Résumons :
- 1 – Economie de risques Juridiques avec un TAEG précis et conforme à
la loi,
- 2 – Gain de 1,5/10 000 avec le calcul actuariel, collant à la
réalité calendaire,
- 3 – Gain de 6,3/10 000 avec le report sur Jour Ouvré, plutôt
que la perte de 5,7 jours/an sur les échéances.
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- B- Internes = Economies directes de gestion
(Front, Middle et Back Office).
Nous (avec Finabanque) estimons
l’économie MJPR de 3 à 4 pour 1 000 des flux encaissés. Avec des frais
de gestion voisins de 1% des flux, ceci fait 4 à 5% des frais de gestion.
Résumons ces gains en crescendo.
1 – Souplesse commerciale accrue,
une personnalisation plus simple.
- 2 – Retour à une comptabilité unique et à un compte
unique de suivi de la créance client :
en principal, intérêts courus et tous
règlements,
des écritures d'échéance réduites de
5 à 2...
- 3 – Rapports Bâle II et analyses ALM:
suppression de tous les monstres
‘informatiques’ spécifiques du type d’opération
pour produire rétroactivement ces rapports. Ce
Principe sera très contagieux pour homogénéiser
le traitement d’autres instruments financiers….
Ce point B3 représente la plus grande part des économies attendus de la mise
en œuvre MJPR.
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Universel, MJPR s'applique également aux crédits
à intérêts précomptés, donc au crédit-bail, LOA, etc..
Universel, MJPR s'accommode très bien des mises à disposition progressives et
même revolving.
MJPR, en bref ne modifie en rien les présentations commerciales, lorsque, par
ex,, le plan est présenté avec des paliers à taux facial progressif.
Il faut et suffit de moduler ce discours qui semble le plus souvent ignorer
les écarts du comparatif çi-dessous.
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MJPR s'applique bien
sûr à la reprise des encours de crédit existant, sans changement des
montants, même si on souhaite par raison d'homogénéité, constater le report
des dates réelles d'encaissement pour recalculer le TIE/TRE.
Dans ce domaine, il ne peut être question de progiciel, mais plutôt d'un
interface spécifique à réaliser en partenariat.
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Comparatif
Base bancaire
360 jrs/an
MJPR
Jours réels
calendaires
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Prêt sur 7 ans à 6% facial (15/01/2002+..)
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Le Tableau ci-contre
illustre les différences de calcul sur la base bancaire virtuelle de 360j/an, et sur la base des jours
réels.
Les écarts sont plus importants avec des taux plus élevés et des durées
totales plus courtes.
Ainsi pour un crédit à la consommation à 12% sur 2 ans, l'écart
maximum entre février et mars double à 0,08% au lieu des 0,04% de cet
exemple. Le nombre de mois où le TAEG est supérieur passe de 2 à 4 mois.
Février est bien sûr l'origine principale de ces écarts.
Les intérêts
mensuels restent toujours quasi proportionnels à la durée réelle des mois;
les erreurs de calcul sont donc de l'ordre de +8% (ou 4.9% si bissext.) pour
février, +1,4% pour les 4 mois de 30 jours et -1,9% pour les 7 mois de 31
jours rapporté au mois moyen calendaire de 30,42 jours (ou 30,5 si
bissextile).
La page comparaison montre que le seul report de
fait au jour ouvré pouvait "consommer" 2% de la marge nette d’un
crédit court terme. Ici, sur 7 ans, ce n’est que 0.6% d’une marge nette de
1%, ce qui reste important.
Rappelons pourtant que tout ceci n'est que la partie émergée des économies
réalisables avec MJPR.
L'essentiel des économies porte sur les frais de gestion interne et ALM,
pour la mise en conformité aux normes IAS et ratios Bâle II.
On ne peut pas davantage négliger l'économie de communication interne et externe qui résultera d'un usage
unifié du vocable TEG : on persiste à tort dans les définitions multiples Scrivener proportionnel ou actuariel parfois dans le même réseau (au gré de .. et malgré les fusions) !
et on (même la Loi) varie la définition TEG suivant la nature du prêt et/ou la qualité de l'emprunteur !
Le TAEG européen correspond à l'état de l'art mathématique, ce qui a convaincu l'IAS de l'adopter naturellement.
Gardons donc cette seule définition universelle satisfaisante pour tous.
Croyez-vous être plus crédible chez vos clients en multipliant les définitions commerciales, comptables, financières du TAEG ?
MJPR c'est surtout un potentiel d'économies 5 à 30 fois plus important que le gain mécanique de 0.0147%. La banque les partagera avec ses clients pour être plus performante et compétitive.
MJPR est aujourd'hui le projet le plus rentable et productif qu'une banque peut mettre en place en quelques semaines...
Les seuls freins à MJPR sont les refus de l'innovation, de la simplicité, de la transparence technique dans la production bancaire. Messieurs les banquiers, la 1ère façon en 2008 de "bien" regagner confiance et argent, c'est de faire des économies et non de nous inventer de nouvelles commissions...Vous y avez perdu plus que votre âme, (si elle existait) : vous vous êtes auto-détruits. Redevenez plus modestes, appliquez à vous-mêmes ce que vous exigez de vos clients...!
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NB : sous l'intitulé
«Incertitude de méthode», une des majors des banques françaises gèle pudiquement une ressource de plus de 50 Millions d'euros !
Et votre banque, combien ? ...Quels sont ses doutes ou certitudes en matière de Bâle II ?
Appliquez MJPR à l'encours de prêts de 1470 Milliards à fin 2007 : ces 0.0147% ajoutent statistiquement plus de 60 Millions d'Euros au calcul des échéances, (en fait +120 et -60 environ)...
Croyez-vous, Monsieur le banquier, pouvoir continuer à ignorer des mots comme : PRODUCTIVITE, TRANSPARENCE, QUALITE, EXACTITUDE ? (même si l'économie restera une science aussi peu exacte qu'imprévisible)
N'est-il pas stupide de continuer à être condamné pour des erreurs de calcul de TEG, alors que vos erreurs de calcul sont en faveur du client plus de 2 fois sur 3 ! (donc aussi : pas toujours en faveur)
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L'Auteur en bref :Michel RICARD

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Michel RICARD est :- un informaticien indépendant,
- de formation ingénieur physicien CPE Lyon,
Il découvre l’informatique en 1965 pendant ses études d'ingénieur avec la
division scientifique d’IBM au service du génie chimique d’Ugine Kulhmann.
Après la coopération en 67-68, où il enseigne les Mathématiques à Madagascar;
il intègre IBM jusqu’en 1972, puis dirige l’informatique et les études
successivement dans l’industrie, l’édition, la retraite & prévoyance avec
des gros ou moyens systèmes IBM 370.
En 1980, il crée Bancor, le premier progiciel bancaire de la mini
informatique sur IBM 3x, puis sur AS400. Il équipe plus de 42 banques à
majorité filiales étrangères à Paris en 8 ans. A cette occasion, Michel
RICARD devient un expert reconnu de la Trésorerie/Change et initie avec l’aval
ultérieur de la
Commission Bancaire quelques innovations réglementaires
dans le domaine.
A la fin de la décennie 80, il cède la licence de Bancor pour permettre le
lancement de SAB, qui avec près de 400 personnes en 2006, est devenu le
leader incontestable du progiciel bancaire en Europe et Méditerranée pour les
petites et moyennes banques.
Depuis la décennie 90, Michel RICARD s’est davantage occupé de projets
industriels.
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Homme de terrain, pionnier de nombreuses
technologies informatiques, Michel RICARD a toujours privilégié la
créativité, l'économie et la simplicité, bref le pragmatisme.
Tout en réduisant plusieurs fois ses budgets informatiques par 3, il faisait
de ses services des références internationales d’ IBM en termes
d'applications en temps réel et enrichissement des tâches administratives.
En 2002, à la demande d’anciens clients, il s’est à nouveau occuper des
problématiques bancaires ALM pour y apporter à nouveau son pragmatisme et ses
objectifs d’économie et simplicité.
La mise en oeuvre des normes IAS/IFRS et aujourd’hui de Bâle II est pour lui
l’occasion d’une remise à plat totale des problématiques pour transformer vos
dépenses obligatoires en un investissement très rentable.
Aujourd’hui, en retraite non volontaire,
il anime encore des enseignements avec le cabinet Finabanque, spécialiste du
contrôle et audit bancaire. Bien sûr, il continue à entretenir et développer
les outils Actuariel et Actuaflux.
OBJECTIF IMMEDIAT : trouver un partenariat avec un groupe bancaire mondial
pour mettre en oeuvre MJPR et le diffuser avec méthode
(associer éventuellement un éditeur de logiciels)
Octobre 2005 - Revisé Nov. 2008
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